Articles liés au mot-clef “ Chanbara ”

La Demeure de la chair (Kazuichi Hanawa, 1972)

“ Attention chers lecteurs, mille supplices terrifiants vous attendent dans La Demeure de la chair... ”

Publié par Aldrea le 6 février 2014 dans B.D.

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La Demeure de la chair (Kazuichi Hanawa, 1972)

Il parait que les mangas sont violents et pervers… heureusement que Famille de France n’a pas encore mis la main sur ce petit joyau de sadisme dévastateur, ça ne ferait que les conforter dans leurs opinions. Bien plus que les séries que …

Les Huit vertus bafouées (Teruo Ishii, 1973)

“ Les Huit vertus bafouées représente le cinéma d’exploitation nippon à son apogée : ultra-violent, désabusé et d’une audace visuelle hors du commun ”

Publié par Marc Fairbrother le 2 juillet 2013 dans Autopsies

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Le rônin, ce samouraï sans maître, fût associé à la pensée nihiliste peu après son introduction au cinéma. Son sort consciemment lié à la damnation par son reniement du système féodal japonais et de l’hypocrisie du bushidô le menait en effet à errer, du moins aux yeux de ses semblables, …

Blind Woman’s Curse (Teruo Ishii, 1970)

“ Blind Woman's Curse enchantera avec son enchaînement fiévreux d'instants de pure bizarrerie horrifique tout spectateur doté d'une forte curiosité pour l'insolite ”

Publié par Marc Fairbrother le 18 juin 2013 dans Autopsies

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Blind Woman’s Curse (Kaidan nobori ryu)
un film de Teruo Ishii (1970)

Capable de mettre en images certaines idées des plus scabreuses qui lui valurent une réputation de provocateur invétéré, Teruo Ishii était avant tout un esthète particulièrement extravagant et inventif. Evoluant sans vergogne ni respect des codes …

Lady Snowblood (Toshiya Fujita, 1973)

“ S'ouvrant et se concluant sur des cris de douleur et de rage, Lady Snowbood offre une réflexion limpide sur la vengeance comme expression vaine de la colère ”

Publié par Marc Fairbrother le 14 juin 2013 dans Autopsies

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Au cours des années 1960, face à l’invasion télévisuelle des foyers japonais, l’industrie cinématographique dût redoubler d’imagination pour lutter contre la désertion des salles obscures. Les studios firent confiance, en un premier temps, aux enfants terribles de la nouvelle vague. Enchaînant les films sulfureux et bon-marché dans lesquels apparaissaient en …

Goyokin : L’Or du Shogun (Hideo Gosha, 1969)

“ Dernier râle d'un samouraï traversant dans le déshonneur de désertiques paysages souillés du sang des innocents, Goyokin procède à l'enterrement brutal du code d'honneur féodal ”

Publié par Marc Fairbrother le 6 octobre 2012 dans Autopsies

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Alors que l’ère Tokugawa touche à sa fin, dans les bas-fonds d’Edo un samouraï désabusé exhibe sa maîtrise des arts martiaux comme simple spectacle de foire. Le choix de l’époque n’a rien d’anodin car, davantage qu’une valeureuse épopée, Goyokin : L’Or du Shogun conte une macabre histoire de fantômes. Ce …