Articles liés au mot-clef “ Critiques de films ”

Le Goût du saké (Yasujirô Ozu, 1962)

“ Le Goût du saké nous emporte au travers des rires et des larmes pour nous exposer notre condition de simples humains plongés dans les affres du temps ”

Publié par Marc Fairbrother le 24 juillet 2013 dans Autopsies

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Le Goût du saké (Sanma no aji)
un film de Yasujirô Ozu (1962)

Au cours d’une carrière longue de quelques cinquante-quatre films réalisés en trente-cinq années, Yasujirô Ozu se sera appliqué à raconter méthodiquement le Japon tel qu’il le vivait. Formé à la Shochiku, les studios nippons étant …

Le Voyage à Tokyo (Yasujirô Ozu, 1953)

“ Le Voyage à Tokyo reste l'une des plus pures expressions du cinéma de Yasujirô Ozu, l'un des grands maîtres du cinéma japonais ”

Publié par Marc Fairbrother le 11 juillet 2013 dans Autopsies

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Le Voyage à Tokyo (Tôkyô monogatari)
un film de Yasujirô Ozu (1953)

D’apparence limpide, d’aucuns diront naïf, les films de Yasujirô Ozu se révèlent après-coup d’une surprenante complexité, le style systématisé qui en soutient la narration proposant aux spectateurs un ensemble d’images et de signes qui se refuse …

Les Huit vertus bafouées (Teruo Ishii, 1973)

“ Les Huit vertus bafouées représente le cinéma d’exploitation nippon à son apogée : ultra-violent, désabusé et d’une audace visuelle hors du commun ”

Publié par Marc Fairbrother le 2 juillet 2013 dans Autopsies

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Le rônin, ce samouraï sans maître, fût associé à la pensée nihiliste peu après son introduction au cinéma. Son sort consciemment lié à la damnation par son reniement du système féodal japonais et de l’hypocrisie du bushidô le menait en effet à errer, du moins aux yeux de ses semblables, …

Sex and Fury (Norifumi Suzuki, 1973)

“ Sex and Fury nous offre un démentiel bain de sang qui oscille entre le pur divertissement et une vertigineuse modernité formelle ”

Publié par Marc Fairbrother le 26 juin 2013 dans Autopsies

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Sex and Fury (Furyô anego den: Inoshika Ochô)
un film de Norifumi Suzuki (1973)

Si déviance cinématographique, femmes voluptueuses et culture japonaise sont au cœur de vos préoccupations quotidiennes, sachez que Norifumi Suzuki a réalisé pour vous le film idéal. En 1973, alors que la Toei, la Nikkatsu …

Le Fils unique (Yasujiro Ozu, 1936)

“ Tout ce qui participera à la mise en scène si particulière d'Ozu se trouve déjà rassemblé dans son premier film parlant, Le Fils unique ”

Publié par Marc Fairbrother le 20 juin 2013 dans Nouvelles du front

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Le Fils unique (Hitori musuko)
un film de Yasujiro Ozu (1936)

Entre le tremblement de terre meurtrier de 1923, les bombardements qui frappèrent au long de la guerre les grandes villes de l’archipel, la destruction des œuvres jugées dangereuses sous l’occupation des forces alliées et la mégarde des …

Blind Woman’s Curse (Teruo Ishii, 1970)

“ Blind Woman's Curse enchantera avec son enchaînement fiévreux d'instants de pure bizarrerie horrifique tout spectateur doté d'une forte curiosité pour l'insolite ”

Publié par Marc Fairbrother le 18 juin 2013 dans Autopsies

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Blind Woman’s Curse (Kaidan nobori ryu)
un film de Teruo Ishii (1970)

Capable de mettre en images certaines idées des plus scabreuses qui lui valurent une réputation de provocateur invétéré, Teruo Ishii était avant tout un esthète particulièrement extravagant et inventif. Evoluant sans vergogne ni respect des codes …